CAMIONS TOYOTA : 70 ANNÉES DE PERFORMANCE ÉPROUVÉE


L’histoire des camions Toyota a commencé il y a plus de 70 ans et, au fil de ces années, Toyota s’est révélée être un concurrent de valeur sur le marché des camions nord-américain.  Des petits camions jusqu’aux populaires SUV et aux pick-up pleine grandeur, Toyota a parcouru bien du chemin.
 
L’homme qui a tout commencé…
Pour retracer l’histoire des camions Toyota, il faut remonter aux débuts de l’histoire de Toyota.  Tout commença avec la création de l’une des entreprises de production industrielle les plus prospères et les plus innovatrices au monde.  La genèse de cette histoire fut écrite en 1890 lorsque Sakichi Toyota inventa le métier à main en bois Toyoda, ce qui mena à la fondation de la Toyoda Automatic Loom Company.
 
Kiichiro, fils de Sakichi, né en 1894, était un enfant du nouveau siècle.  En tant que tel, il était profondément intéressé par le progrès industriel, la mécanisation et, en particulier, l’automobile.  En fait, il était tellement intéressé qu’en 1929 il visita l’Europe et les États-Unis pour étudier les automobiles et leur production, s’arrêtant en route pour visiter Henry Ford, l’homme que beaucoup considèrent comme le père de la production en série.
 
L’année suivante, Kiichiro commença sa recherche relative aux moteurs à combustion interne et, peu après, en 1935, un modeste département automobile fut créé au sein de Toyoda Automatic Loom.
 
Le G1 de Toyota : le camion à l’origine de l’histoire
Rien de tout cela n’était le résultat du vain bricolage d’un amateur, comme le démontra le lancement du premier camion de Toyoda, le G1.  La mise au point du G1, dévoilé publiquement en novembre 1935, et approuvé pour la mise en vente deux semaines plus tard, mena à la création officielle de la Toyota Motor Company, en 1937.
 
Tous les autres plans que Toyota aurait pu avoir pour sa production de camions furent coupés court lorsque survint la guerre, bien que Toyota ait continué à développer sa gamme de camions avec la production du KB en 1942 et du KC en 1943.
 
Après-guerre : apparition des petits camions
À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, bien que la capacité de production du Japon ait été en grande partie détruite, une partie de la capacité de production de Toyota avait été épargnée.  Grâce à cela, Toyota fut en mesure de lancer le camion BM et un camion plus petit, le SB, en 1947.  Fait intéressant, le BM était entraîné par une version du moteur de série B 75 chevaux qui allait plus tard entraîner le célèbre Land Cruiser.  Il fut perfectionné dans les camions lourds BX et FX ultérieurs.  D’un bien plus grand intérêt, toutefois, fut le petit camion SB, premier pick-up de Toyota.  Perfectionnement de la berline Toyota appelée la SA, il faisait appel à une cabine deux portes classique montée sur un châssis en échelle et était entraîné par l’efficace moteur de 995 cm³ de la SA.
 
 
Le Land Cruiser FJ40 lance les camions Toyota en Amérique du Nord
Cette approche arborescente de la conception et de la mise au point d’automobiles était évidente dans toutes les activités de Toyota.  Au moment même où la compagnie mettait au point sa gamme de camions légers, elle s’occupait également de perfectionner le prédécesseur du fameux et vénéré Land Cruiser FJ40 à quatre roues motrices.  Il s’agissait du BJ, le premier Land Cruiser, branche importante des activités de production de camions de Toyota, et branche de la compagnie qui lui permettrait de prendre littéralement racine en Amérique du Nord.
 
Toyota avait conçu une devise de compagnie qui pourrait aisément être adoptée aujourd’hui.  C’était « De bonnes idées, de bons produits ».  L’un des résultats de cette bonne conception fut, en 1952, le petit pick-up SG, un modèle compact très influencé par le design de style nord-américain.  En fait, avec ses pratiques calandre et pare-brise verticaux, le SG ressemble beaucoup à une version réduite d’un pick-up International Harvester des années 50.
 
Ça ne s’est pas arrêté là.  Toyota a continué à aller de l’avant grâce à des designs améliorés et plus efficaces, dont le camion RK en 1953 et le SBK Toyo Ace en 1953.  Chose intéressante, ce dernier nom demeure dans l’usage contemporain pour désigner un camion commercial léger à cabine avancée.
 
Le premier camion arrive en Amérique du Nord : le pick-up FJ45
Dès le début, Toyota ne se contentait pas d’explorer les marchés outremer, mais s’attachait à les exploiter.  Ce n’était donc qu’une question de temps avant que la compagnie ne tourne son attention vers l’Amérique du Nord et son appétit apparemment insatiable pour les voitures et les camions.
 
Tout commença par une berline appelée la Crown et par le légendaire Land Cruiser.  Ce fut une version pick-up du Land Cruiser, un modèle appelé le FJ45 qui fut le tout premier pick-up Toyota à arriver en Amérique du Nord.  Bien que le FJ45 n’ait été en vente que pendant un an, c’était un camion très performant qui devint un précieux objet de collection.
 
La porte ouverte : le HiLux
En 1964, Toyota lança son premier petit pick-up autonome en Amérique du Nord, le Stout.  Le Stout, un 4x2 d’une demi-tonne, était entraîné par un quatre cylindres 1,9 L de 86 chevaux.  La première année, les ventes ne furent pas très prometteuses, pour peu dire.  On ne vendit que quatre Stout en 1964.  L’année suivante, toutefois, les choses s’améliorèrent et l’on en vendit 900.  Après une autre année de ventes modestes en 1966, on cessa la production du Stout en 1967 pendant que les ingénieurs de Toyota concentraient leurs efforts sur un camion qui satisferait les besoins du marché de masse des camions.
 
Ce camion, c’était le HiLux, véhicule qui ouvrit tout grand les portes du succès pour Toyota dans le marché intérieur des camions légers.  Le HiLux, lancé en 1969, démontra qu’il était un camion fiable, peu coûteux et qui ne craignait pas le travail.  Le tout nouveau HiLux était entraîné par un nouveau moteur quatre cylindres de 1,9 L qui développait 108 chevaux.  Jugé d’après les normes contemporaines, son intérieur était plutôt spartiate (les camions étant avant tout à cette époque des véhicules utilitaires) avec son tableau de bord en métal et son unique banquette.
 
Le premier HiLux comportait un curieux élément de style prédominant : les clignotants étaient placés au sommet des ailes avant du camion.  Ce positionnement inhabituel était conçu pour utiliser des orifices poinçonnés dans les ailes aux usines de production de Toyota au Japon.  Ils se trouvaient là parce qu’une loi japonaise exigeait que, pour le marché intérieur, tous les véhicules soient équipés de rétroviseurs installés au sommet des ailes avant.
 
Le nouveau camion suivant arriva au milieu de 1972.  Il était le résultat d’un sérieux effort de conception, de sorte que son apparence était un peu moins utilitaire que celle des camions des générations antérieures… et ces excentriques clignotants étaient placés à un endroit plus pratique.  Comme c’est courant pour Toyota, ce camion offrait une option qui fut rapidement adoptée par d’autres fabricants.  Il était disponible avec une caisse de chargement allongée.  L’acceptation de ce camion par les amateurs nord-américains fut si complète qu’en 1974 il fut désigné « Pick-up de l’année » par le magazine Pickup, Van & 4WD, un important magazine pour amateurs de l’époque.
 
Appelons-le simplement le pick-up Toyota
Ne se reposant jamais sur ses lauriers, Toyota haussa la barre en 1975 avec un autre nouveau camion.  Celui-là était entraîné par le moteur 20R de 2,2 L hautement respecté de Toyota.  Pour l’année suivante, il y eut peu de changements au niveau de la carrosserie, mais le changement de philosophie était énorme.  Sur le marché nord-américain, le camion ne s’appelait plus le HiLux.  Parmi les enthousiastes, au moins, il devint simplement le pick-up Toyota, à un moment où les véhicules qu’on appelait « mini-camions » gagnaient rapidement en popularité.
 
Un autre changement important survint en 1977, année du lancement du sportif modèle SR5.  Avec sa boîte de vitesses manuelle à 5 vitesses accouplée à un puissant moteur à essence, le SR5 était conçu pour plaire à un nouveau type de client, l’acheteur de camion sportif.  Le magazine Pickup, Van & 4WD fut impressionné.
 
Le légendaire 22R
Cette version du pick-up Toyota avait toutefois plus pour elle que la dynamique de conduite.  Il comportait également des accessoires assurant le confort et la commodité des passagers, chose rare à l’époque dans les pick-up, qu’on considérait comme orientés vers le travail plutôt que vers les loisirs.  Le moteur 20R de Toyota demeura sous le capot du pick-up pendant deux autres années, jusqu’en 1981, année où il fut remplacé par le légendaire 22R, un moteur qui est encore en usage aujourd’hui.
 
Toyota surprend la concurrence avec le pick-up 4RM
Il y eut toutefois autre chose, en plus de l’utilisation du puissant et durable 22R, qui fit du camion Toyota 1981 un véhicule révolutionnaire.  Faisant appel à la technologie et à l’expertise provenant de son expérience avec la gamme Land Cruiser, Toyota surprit ses concurrents, ainsi que ses clients potentiels, en offrant les quatre roues motrices avec un boîtier de transfert deux rapports comportant un rapport extra-lent en régime inférieur dans sa gamme de camions compacts.  Cette innovation changea la face du marché des petits camions, forçant tous les autres fabricants à faire de même avec leurs propres camions à quatre roues motrices.
 
Après des essais concurrentiels exhaustifs, le camion 4x4 Toyota fut nommé « 4x4 de l’année » par le magazine Pickup, Van & 4WD.
 
Le modèle Xtracab rehausse le confort et la commodité
Lors du changement de modèle suivant, qui survint en 1984, on mit en application des améliorations qui rendirent le camion Toyota plus confortable et plus pratique.  L’une de ces améliorations, et non la moindre, était l’adoption de la cabine Xtracab, qui semblait être l’admission tacite du fait que les cabines de ces camions étaient vraiment petites.  Le modèle Xtracab offrait une longueur additionnelle derrière les sièges du conducteur et du passager, espace qui était incroyablement utile pour le rangement sécuritaire des bagages et des objets de valeur.  La suralimentation fit également son apparition dans les modèles à essence et diesel.
 
L’évolution continue : le 4Runner
Au milieu de 1984, Toyota lança sur le marché pour l’année-modèle 1985 un révolutionnaire nouveau véhicule, le 4Runner.  Basé sur les composantes mécaniques du robuste pick-up quatre roues motrices, un excellent vendeur, le 4Runner combinait la polyvalence et la capacité tout terrain des quatre roues motrices avec le confort et la fonctionnalité qu’on retrouve dans les voitures de tourisme.  Il avait un toit en fibre de verre recouvrant le compartiment de charge.  On pouvait enlever ce toit pour la conduite à ciel ouvert.
 
Le 4Runner de première génération était un peu plus qu’un pick-up avec un espace de chargement arrière couvert.  L’accent était mis sur la fonctionnalité.  Avec des sièges à l’avant seulement, l’arrière du véhicule était conçu pour ranger les charges (ou le matériel de camping, les bicyclettes, etc.).
 
En 1986, Toyota lança une sixième génération du camion qui était, pour la première fois, entraînée par un moteur V6.  Le camion Toyota évoluait.  La performance était grandement améliorée, tout comme les capacités de transport de charges et de remorquage.
 
Le T100, un véhicule controversé
Cette période, de 1988 à 1995, fut sans doute la plus longue période au cours de laquelle on produisit une unique génération, sans changements majeurs.  Jusqu’à ce moment-là, les loyaux propriétaires de camions Toyota qui recherchaient un plus grand camion devaient s’adresser à d’autres fabricants.  Tout cela changea en 1993, lorsqu’on offrit aux enthousiastes du camion Toyota – de fait, aux amateurs de tous les types de camions – un coup d’œil sur quelque chose de complètement nouveau et différent.  Ils assistèrent au lancement du T100.
 
Le T100 était, et dans une certaine mesure demeure, controversé du fait qu’il était sensiblement plus grand et plus puissant que le camion Toyota compact.  Il était toutefois plus petit que beaucoup d’autres camions pleine grandeur sur le marché.  Pour cette raison, de nombreux acheteurs ne savaient pas quoi en penser.
 
Pourtant, alimenté par un nouveau moteur V6 de 3,0 L, il offrait des sièges assez larges pour trois passagers, une imposante hauteur sous plafond et une caisse de chargement surdimensionnée suffisamment grande pour transporter une feuille de contreplaqué standard de 4 x 8 pieds (1,22 x 2,44 m).
 
Un an après le lancement du T100, Toyota adopta une mesure inhabituelle et l’offrit avec un moteur plus petit.  Il devint disponible avec un économique moteur quatre cylindres de 2,4 L, qui pouvait être équipé d’une boîte de vitesses manuelle.  Ceux qui désiraient une transmission automatique n’étaient pas déçus puisqu’elle était disponible avec le T100 à moteur V6, tout comme les quatre roues motrices.
 
Une révolution : le Tacoma
Démontrant que Toyota ne se préoccupait pas du T100 à l’exclusion de ses autres camions, lorsque des changements furent finalement apportés, ils furent spectaculaires.  C’est qu’en 1995 Toyota lança le Tacoma.  Encore une fois, le petit pick-up portait un nom de modèle discret et il était conçu et fabriqué spécialement pour le marché nord-américain.  Un moteur 4 cylindres surdimensionné de 2,4 L était ainsi de série sur les modèles à deux roues motrices, alors que les modèles à quatre roues motrices comportaient un moteur 2,7 L de 150 chevaux qui développait 177 lb-pi de couple.  Un V6 de 3,4 L était également disponible en option.
 
Le Tacoma, avec de nouveaux moteurs, de nouvelles suspensions et une nouvelle carrosserie, résultait beaucoup moins d’une conception évolutionnaire que les camions antérieurs.  Il s’agissait d’un véhicule entièrement nouveau conçu pour être utilisé de la manière dont les consommateurs utilisaient leurs camions.
 
Toyota égala les changements apportés au Tacoma en 1995 avec un ensemble de modifications tout aussi intéressantes au T100.  La puissance fut accrue, grâce à l’utilisation d’un V6 de 3,4 L.  On améliora également l’espace intérieur, grâce à l’adoption de la cabine Xtracab de Toyota pour ce modèle.
 
En 1997, on n’apporta aux deux gammes de camions que des changements mineurs, peut-être pour donner aux ingénieurs et aux concepteurs un peu de temps pour reprendre leur souffle et pour penser aux étapes suivantes.  On apporta quelques améliorations de détail à la garniture et aux pneus du T100, alors que la gamme Tacoma ne vit qu’un changement mineur de la conception extérieure.  L’année suivante, toutefois, ce fut une tout autre histoire.  En 1998, on lança le Tacoma PreRunner, un camion à deux roues motrices avec capacité hors route.  Il fut immédiatement accepté  par des acheteurs avides de quelque chose de différent et à la recherche de caractéristiques améliorées.
 
Robustesse : le Tundra
En juin 1999, la compagnie lança le Tundra, un pick-up qui était beaucoup plus proche pour ce qui est de la taille et de la capacité de ce que les consommateurs recherchaient dans un pick-up grand format.  Fabriqué dans une toute nouvelle usine à Princeton, en Indiana, exclusivement pour le marché nord-américain, le Tundra était entraîné par le tout nouveau V8 Force-i de Toyota, un perfectionnement du moteur haute technologie lancé initialement dans la gamme Lexus.  Le modèle Access Cab, avec sa cabine allongée, accroissait l’espace intérieur grâce à des banquettes arrière rabattables pour usage occasionnel et à un ensemble de portes arrière de style coquille qui donnaient accès à ces sièges.
 
Toyota n’avait toutefois pas encore fini d’innover dans sa gamme de camions.  En 2001, on apporta au Tacoma plusieurs changements importants, dont le moindre n’était pas la modification de l’apparence du modèle Double Cab, un pick-up compact avec une grande cabine et quatre portières de grandeur normale.
 
En 2001, des changements mineurs furent apportés au Tacoma, comme deux nouvelles couleurs extérieures et des améliorations telles qu’un combiné trois en un radiocassette AM-FM et changeur 6 CD en option sur tous les modèles SR5 et Limited.  De plus, un groupe hors route TRD était maintenant disponible.
 
Des changements furent apportés au Tundra tout juste deux années plus tard lorsque, pour l’année-modèle 2003, on intégra des améliorations à l’intérieur et à l’extérieur de ce modèle.
 
À l’automne 2003, on assista à l’arrivée d’un Tundra modèle 2004 sensiblement plus grand, le Tundra Double Cab, qui comportait non seulement une cabine quatre portes plus longue et plus large, mais également une caisse de chargement de 1,9 m (6 pi, 3 po).
 
Enfin, en 2005, un autre tout nouveau Tacoma fit ses débuts.  Il comportait des composantes mécaniques améliorées et offrait plus de puissance, une meilleure suspension et plus d’espace.  Le Tundra fit l’objet d’une deuxième modification mineure en 2005 lorsqu’on y ajouta le V8 de 4,7 litres à rendement accru avec distribution à calage variable intelligent (VVT-I) associé avec une transmission automatique cinq rapports.
 
Le plus gros Tundra à ce jour
Lorsque le pick-up Toyota Tundra 2007 arriva en Amérique du Nord en 2008, il suscita de l’enthousiasme parmi les loyaux amateurs de camions dont la culture est profondément enracinée.  La domination de NASCAR par Toyota fut un terrain d’essai encore plus important pour les loyaux acheteurs de camions.  Le Tundra de deuxième génération était le plus gros camion jamais fabriqué par Toyota.  Lorsqu’il fut  modernisé pour l’année-modèle 2010, le Tundra démontra qu’il pouvait intégrer plus de puissance dans un nouveau moteur de 4,6 litres tout en réduisant sa consommation de carburant
 
Un dernier chapitre : le 4Runner 2010
Le plus récent chapitre de l’histoire des camions mise sur 25 années de capacité éprouvée en Amérique du Nord : il s’agit du tout nouveau 4Runner 2010.  La passion des conducteurs de 4Runner est évidente du fait que près de 65 pour cent des 4Runner qui ont été fabriqués pour le Canada sont encore sur la route aujourd’hui.  Au moment où de nombreux fabricants s’éloignent du segment des VUS à construction à carrosserie sur cadre, Toyota connaît une intéressante opportunité de s’assurer que les enthousiastes de ce segment ne soient pas oubliés.  Le tout nouveau Toyota 4Runner 2010 offre plus de puissance avec moins d’essence, en plus de technologies hors route additionnelles, comme le système de suspension cinétique dynamique (KDSS) et le régulateur de vitesse lente, ce qui le rend plus performant que jamais auparavant.   Il appartient maintenant aux conducteurs de démontrer que la puissance, la passion et la performance continuent à vivre dans les plus récents camions Toyota.
 
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