Tenir compte du facteur humain dans la sécurité routière


Depuis que la première automobile a pris la route, les fabricants cherchent des façons de rendre leurs véhicules plus sécuritaires. Mais il ne faut jamais oublier le facteur humain : le conducteur qui tient le volant. Comment un véhicule peut-il aider son conducteur à éviter les comportements à risque? 

 

C'est la question fondamentale sur laquelle se penche une recherche que subventionne actuellement Toyota à l'université de Toronto par le biais du Toyota Collaborative Safety Research Center (CSRC). Les chercheurs s'intéressent aux types de rétroaction de la part d'un véhicule qui inhiberaient le plus efficacement les comportements à risque au volant. Au moyen d'un simulateur de véhicule, l'équipe peut évaluer les réponses physiques et cognitives à diverses situations afin de discerner des méthodes de rétroaction prometteuses, qui seront ensuite soumises à des essais sur la route.

C'est un des plus de 30 projets de recherche que mène le CSRC en collaboration avec des universités, des instituts de recherche, des organismes gouvernementaux et d'autres entités afin de mieux comprendre les relations dynamiques entre véhicules, conducteurs, circulation et environnement. Toyota s'est engagée à subventionner le CSRC à hauteur de 85 millions $ d'ici 2020. Le CRSC partagera ses méthodologies de recherche et ses résultats avec toute l'industrie pour que tous aient accès à de l'information qui pourrait rendre nos routes plus sûres. 


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